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MEDIAS
Les gardiens de la Foi Carboniste
Des contributions actives au totalitarisme qui vient
Par la rédaction,
3 août 2023
Au XVIème siècle, les habitants
de Genève qui n’adhéraient pas à la Doctrine de la Foi
imposée par le cruel pasteur protestant réformiste Calvin risquaient d’être
excommuniés, parfois même brûlés. De nos jours, la
doctrine climatique émanant du GIEC a suscité
l’émergence de Gardiens de la Foi fascinés par cette
doctrine et qui n’hésitent pas à stigmatiser ou jeter
l’anathème sur qui ose mettre en doute certaines
assertions du GIEC ou critiquer la Foi Carboniste qui
accuse le CO2 de tous les maux.
Des
quotidiens ou des médias très lus confortent de ce fait
dans leur fanatisme des activistes qui se livrent à des
excès violents « d’écoterrorisme ».

« L’humanité n’a jamais vaincu le totalitarisme.
Elle en est éternellement, régulièrement,
périodiquement victime, quels que soient les
décors de façade, la couleur locale, les idéaux
brandis pour « le bien » de la masse, le type
d’exigence sacrificielle requis »
(Ariane Bilheran, 2022, Chroniques du
totalitarisme ; Totalitarisme et écosystème) |
Ainsi, après un article de charlatanisme
pseudo-scientifique faisant appel à la
psychologie pour dévaloriser ceux qui osent critiquer le
GIEC, voici, plus audacieux encore, l’appel à la
psychanalyse et à Freud pour s’attaquer à ceux qui
mettent en doute les approximations du GIEC. C’est le
pas qu’a franchi le grand quotidien Le Monde qui prétend détenir et révéler
la Vérité avec ses « Décodeurs » héritiers de Calvin.
Certains lecteurs pourraient
souhaiter qu'on leur présente des arguments
scientifiques solides sollicitant leur capacité
intellectuelle et leurs formations
supérieures
pour examiner les
nombreux points de vue scientifiques divergents des avis
du GIEC, aborder rationnellement ce sujet complexe
qu'est le climat. Et non pas se voir imposer une
logorrhée psychanalytique évoquant par exemple :
« le sophisme de l’histoire du chaudron immortalisé par
Sigmund Freud »,
qui en appelle à l’implication « d’acteurs qui
débitent des propos qui suggèrent une campagne organisée
de désinformation », « Citoyens imprégnés de
défiance, complotistes, antivax et poutinolâtres » Freud
eut probablement été intéressé par la paranoïa
complotiste pro GIEC à l’origine d’une telle phrase !
Dénonciation primaire anticapitaliste en prime : « Les
précédents ne manquent pas, depuis les actions de
manipulation de l’opinion publique de l’association
environnementale de l’industrie pétrolière et gazière,
dans les années 1980 » Quelles preuves ou
références ? Néant.
Mais cela alimente l’idéologie de la
décroissance qui instrumentalise certaine
déclarations du GIEC. D’ailleurs on
a plutôt entendu parler de soutien des pétroliers aux…
écologistes antinucléaires, dès les années 1970, contre
le développement des centrales nucléaires civiles.
Antinucléaires qui n’ont pas évolué en 50 ans et dont
les héritiers détruisent des cultures de nos
jours. Il est
vrai que l’opposition au progrès est une tradition dans
ce milieu de phobie scientifique. Ainsi leurs ancêtres,
des proto-écologistes, manifestaient vers 1900 à Nantes
contre le remplacement de l’éclairage au gaz de ville du
passage Pommeraye par l’éclairage électrique en courant
continu inoffensif. |
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Pour se livrer à ces
dénigrements, Le Monde fouille les poubelles des
réseaux sociaux en y recherchant les assertions le plus
grotesques et s'appuie ainsi, pour les ridiculiser, sur
les dires fantaisistes d'amateurs climatosceptiques
grand public ayant les opinions les moins qualifiées
(Mais tout en « oubliant » de dénoncer les délires
dystopiques d’autres amateurs ou des sites web fanatisés
pourvu qu'ils soient climato-catastrophistes). Ceci n’est pas
critiquable, mais ce qui l’est et qui est de plus
éminemment malhonnête pour un journal qui se voudrait
être une référence, c‘est de faire l'amalgame au passage
avec les gens sérieux, scientifiques authentiques, qui ont des
arguments solides, pour les dévaloriser.
Le quotidien Le Monde nous pond
même une vraie perle : « …que les forêts
tropicales découvertes au pôle Nord, présentées comme la
preuve que la Terre se refroidit, datent d’une ère où
l’actuel Arctique se situait sous les tropiques » Sauf qu’il ne peut jamais y avoir eu
au Pôle Nord le moindre brin d’herbe puisque le
Pôle Nord est situé sur l’océan arctique,
…plutôt salé et aqueux. Confusion nigaude sans
doute avec les fermes vikings à 3 000 kilomètres
plus au Sud qui ont
existé au Groenland à l’occasion d’un évènement régional de Dansgaard/Oeschger. Ce phénomène intervient tous les 1 400 ans environ, ainsi que
l’explique dans une publication scientifique
la vice-présidente du GIEC Valérie Masson-Delmotte
elle-même :
« des réchauffements d’au moins 10°C
susceptibles de se développer en moins de 300 ans »
écrit-elle.
Ce qui est autre chose que notre modeste 1°C global actuel sur
100 ans ! |

Pôle Nord ancien
vu par Le Monde |
Ces gardiens rigoristes de la
Foi se gardent bien de faire état du
rapport CLINTEL
établi par un panel international de
scientifiques indépendants de haut niveau et qui
compilent les défaillances, approximations et oublis du
GIEC. Ils « oublient » aussi systématiquement de
signaler des livres ou des études sérieuses qui
cherchent à comprendre où est la vérité climatique. Ce
n’est plus du journalisme, qui
consiste en principe à rechercher, vérifier et transmettre des
informations d’origines diverses, mais de la propagande
militante très engagée mais très peu qualifiée.
Evidemment il y a un
réchauffement global ; de 1,1°C en un siècle. Il suffit
d’être capable de lire un thermomètre pour le
constater. Par contre, les causes en sont bien
plus difficiles à soutenir. Aucune démonstration
convaincante ou preuve expérimentale du rôle
néfaste du CO2 dit « anthropique » par exemple
n'existe encore. Dans des débats, le pape
français du « dérèglement » climatique, Jean
Jouzel, ancien vice-Pdt alarmiste du GIEC, n’a
d’autre issue que d’invoquer « les modèles »
informatiques qui selon lui annoncent une
catastrophe thermique de plus 4 ou 5°C (Lien
vidéo). Il faut savoir qu’il suffit d’introduire
arbitrairement dans un algorithme un facteur à
coefficient négatif, pour que bien évidemment le
puissant ordinateur recrache un résultat plus ou
moins orienté vers ce qu’on essaie de lui faire
dire. Il ne s’agit pas alors d’IA,
d’intelligence artificielle, mais d’IH,
d’inintelligence humaine. |
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Il faut rappeler que toute la
théorie, l'hypothèse, de l'effet de serre repose sur des
supputations du XIXème siècle, après la découverte de la
capacité d'absorption du rayonnement infrarouge
(“rayonnement obscur”) de certaines molécules de l'air
par Fourier (1824) puis Tyndall et Arrhenius. Cette découverte a
servi à tenter d'expliquer naïvement les ères
glaciaires. Arrhenius,
chimiste éminent qui s’est
livré, en utilisant les radiations de la pleine Lune, à ces réflexions en 1896 ignorait évidemment aussi
bien les travaux de Milankovitch de 1941 sur les cycles
astronomiques que les phénomènes quantiques d'échange
d'énergie des particules et des molécules découverts au
début du XXème siècle, y compris les coefficients
d’émission-absorption définis par Einstein. Aucune
approche nouvelle depuis, mis à part certains articles
"gênants" curieusement ignorés ou écartés par le GIEC.
Comme les expériences très concrètes du grand physicien
Robert Williams Wood en 1909 qui ont infirmé l'effet de
serre tel que supposé par ses prédécesseurs ou celles de
Harde & Schnell en 2021. |
Illustration
simplette
trompeuse
de l'effet de serre
du site officiel 
"notre-environnement"
de la république française

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Le “Consensus” en science est un
concept aberrant. Un Consensus, c’est le consentement
d'un grand nombre autour d’un thème plus ou moins
rigoureux, qui consiste à dégager un accord en évitant
de faire apparaître les objections et les abstentions.
Une connaissance scientifique authentique est par contre
: démontrée, critiquée avec parfois le plus grand
scepticisme, confirmée par l'expérience reproductible et
alors établie. Sinon, elle est infirmée, modifiée ou
reste hypothétique. D'ailleurs ce “consensus climatique"
radoté est plus une propagande d'idéologues de la
décroissance et de politiciens (fussent-ils
climatologues ou prétendus tels) car il existe
plus de cent articles scientifiques qui nient la prétendue
influence notable du CO2 “anthropique” sur la
température. Les manipulateurs d’opinion
entretiennent volontairement la confusion entre deux
consensus ; "consensus sur le réchauffement“ et
”consensus sur le rôle néfaste du CO2“ pour faire
”avaler" l'un en avançant l'autre. Bien évidemment, le
réchauffement n'est pas un “consensus”, c'est un
“constat”. Par contre le rôle néfaste du CO2 n'est pas un
“consensus”, c'est une conjecture non strictement
démontrée que certains propagent comme croyance
religieuse.
Les erreurs grossières de prévision des températures
terrestres du GIEC par leurs modèles balbutiants (Ex.
rapport AR5 IPCC en 2013, après 25 ans de GIEC)
démontrent simplement que le Giec ne présente

aucune fiabilité pour les prévisions
climatiques et que les critiques ou les doutes exprimés,
même parfois naïfs, ne justifient pas un mépris presque
injurieux par des Gardiens climatiques de la Foi
Carboniste, souvent scientifiquement incultes.
Le canard gratuit "20 Minutes" s’attaque, lui, à une interview de Christian
Gerondeau, polytechnicien X-Ponts, ancien haut
fonctionnaire, auteur d’une douzaine de livres sur le
climat (dont un préfacé par l'ancien président de la
république Valéry Giscard d'Estaing), et qui est présenté perfidement par 20 Minutes comme… membre d’une
association automobile !
Misérable méthode.
Interview qui aurait eu le défaut selon « 20
Minutes » d’avoir été menée par un ancien membre
(disent-ils) d’un parti honni (c’est-à-dire qui n’est ni
d’extrême gauche ni de bien-pensance certifiée).
« Depuis
2016 la température de la
terre a baissé »
a osé avancer Gerondeau. Même si ce n’est apparemment
que d’un dixième de degré et sans conclusion hâtive à
tirer sur l’avenir, c’est bien ce que montrent les
relevés
de l’UAH
(Alabama) et ceux du Goddard Institut de la NASA. Ceci prouve
assurément que le
réchauffement ne s’accélère pas comme l’affirment
mensongèrement les catastrophistes jour après jour. Le canard gratuit se
croit obligé d’ergoter en polémiquant avec sinuosité sur
le sujet.
Christian Gerondeau reproche au
GIEC d’avoir « écrit que la mer allait monter de 15
m » rapporte 20 Minutes, et il affirme, lui, que
l’augmentation du niveau de la mer ne sera que de 10 cm
dans 50 ans. 20 Minutes appelle au secours Valérie
Masson-Delmotte,
disciple de Jean Jouzel et vice-présidente du GIEC, qui rétorque
que « C’est faux », que la montée des eaux est de
3,7 mm à 4 mm ces dernières années (ce qui ferait 18,5 à
20 cm en 50 ans). Qu’est-ce qu’il est le plus faux
d’affirmer : 10 cm ou 15 mètres si c’est 19 cm le
« supposé vrai » ? Et d’ailleurs, quelle est la recette
miracle du GIEC pour limiter la hauteur des vagues de
tempêtes déferlant sur nos côtes et qui peuvent
atteindre 10 à 20 m ?
La vice-présidente du GIEC et
son avocat « 20 minutes » feraient mieux de s’expliquer
sur les erreurs grossières ou approximations précédemment citées des prévisions de
température du GIEC.
Face aux bizarreries de la voiture électrique et des
batteries que souligne Christian Gerondeau, le canard
donne la parole à d’illustres inconnus, « spécialistes »
paraît-il, qui argumentent tellement confusément qu’ils
confirment en fait qu’il y a vraiment un doute sérieux
en la matière.
A chaque constat objectif
critique, ce n’est que cheveux coupés en quatre et
dialectique de style marxiste-léniniste pour s’opposer
aux constats scientifiquement gênants qui démontent
l’alarmisme malsain émanant d’un
Groupe
Intergouvernemental
d’Effroi
Climatique et de ses affidés.
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« Dans les discours, il
y a toujours la culpabilisation du citoyen.
Cette culpabilisation du citoyen prépare la
délation des mauvais citoyens. Nous devenons
tous des coupables en puissance, des coupables
de consommer de l’énergie, des coupables
d’émettre du carbone, des coupables de vivre et
tout ceci fait partie de la logique
totalitaire »
« Qu’est-ce qui fait
qu’un individu intellectuellement construit,
émotionnellement construit, qui dans une
situation « normale » se comporte tout à fait
correctement en vient à se retrouver embrigadé
et à commettre les pires actes qui soient ? J’ai
parlé de collectif régressé, c’est-à-dire d’un
phénomène de régression psychique qui se passe
dans le collectif pour l’individu et qui est une
sorte de dégringolade de l’échelle de notre
construction psychologique acquise dans la
première enfance »
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Ariane Bilheran est docteur en
psychopathologie, philosophe, diplômée
de l’Ecole normale supérieure (Ulm,
Paris), auteur de 49 ouvrages. |
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L’AFP (Agence France
Presse) qui est généralement recopiée aveuglément à la
virgule près par les journalistes, est entrée en
"ébullition climatique" derrière A. Guterres et a mis en place une
officine hyperactive de glorification du GIEC et
d’apologie de ses sourates intitulée prétentieusement
« News Désintox » Elle traque les opinions climatiques
non orthodoxes exprimées sur les réseaux sociaux.
L’AFP rappelle souvent que « la
responsabilité humaine dans le réchauffement climatique
est aujourd'hui reconnue par l'immense majorité de la
communauté scientifique internationale, …Mise en lumière
par le GIEC » :
affirmation
qui tient de l’imposture.
L’injonction traditionnelle « Tu aimeras l’Eternel ton Dieu »
avait plus de noblesse.
La phrase-type introductive des ratiocinations de
l’AFP, qui relaie tout ce qui a une odeur de GIEC, est :
« Des
accusations infondées, répondent les scientifiques
(conformistes) interrogés par l'AFP » ou
bien
l’utilisation du malin « manque de contexte »
quand il ne leur est vraiment pas possible d’écrire
"Faux".

Récemment, Benoit Rittaud, président de l’Association
des Climato-Réalistes, a eu un intéressant
entretien avec
France Soir.
Il
fut aussitôt agressé par une AFP qui ergote, pinaille,
chipote, chicote, sur des éléments mineurs très
secondaires, en défenseure fanatique de la bible du GIEC
et de la position de ses virgules, pour diluer et
dénigrer en
sombrant dans le ridicule le vrai et solide message exprimé.
L'AFP dégaine donc dès que quiconque critique un tant soit
peu les affirmations inquiétantes du GIEC, y compris
futures, supposées, approximatives ou même
erronées ou bien ses schématisations ridicules
de l'effet de serre. |
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"Celui qui contrôle la peur des gens devient le
maître de leurs âmes" (Machiavel; Le
prince)
La psychose du CO2 soi-disant mortifère est un
support idéal de terreur car la démonstration
scientifique de son innocence bien réelle est
complexe. |
Il n’est pas inutile de rappeler que le GIEC (IPCC –
Panel Intergouvernemental d’Evaluation du Climat) est un organe politique qui dépend directement de l’ONU et de
son
inénarrable Secrétaire général.
Le GIEC est composé de 98 personnes et
comporte en tout et pour tout
six climatologues dont quatre chinois
.
Un organe qui prétend étudier ou faire étudier des
milliers d’articles scientifiques mais qui en tous cas
les « brasse » et
les trie... Un
organe qui produit régulièrement un « Résumé pour les
décideurs politiques » orienté et différent sur bien des
points des gros rapports d’analyses scientifiques de
milliers de pages ; différences que l’AFP est
incapable de
détecter, se contentant de donner la parole aux
conformistes disponibles.
Tout était déjà joué en 1988
ONU, 6 décembre 1988
Résolution ONU-Création du GIEC
Protection du climat global pour les
générations présentes et futures de
l'humanité
L’Assemblée générale,
Notant avec inquiétude que l’évidence qui
émerge indique que la croissance continue
des concentrations atmosphériques de gaz à
effet de serre pourrait
entraîner un réchauffement de la planète
(Jamais
démontrée - NDLR) avec une
éventuelle élévation du niveau de la
mer, dont les effets pourraient
être désastreux pour l'humanité si des
mesures opportunes ne sont pas prises à tous
les niveaux,
…/…
5. Approuve l'action de l’Organisation
météorologique mondiale et le Programme des
Nations Unies pour l'environnement dans la
création conjointe d'un Intergovernmental
Panel on Climate Change
(IPCC - Panel
intergouvernemental sur le changement
climatique – traduit abusivement par GIEC,
Groupe « d'experts » intergouvernemental sur
l'évolution du climat -NDLR)
pour fournir des évaluations scientifiques
coordonnées de l'ampleur, du calendrier et
de l’impact environnemental et
socio-économique potentiel du changement
climatique et des stratégies de réponse
réalistes, et exprime son appréciation pour
le travail déjà engagé par le Panel;
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Organisation
de la propagande et de la censure
Des députés et journalistes d'extrême
gauche se sont
réunis dans la Salle des fêtes de
l’Assemblée nationale, le 19 juillet
2023 pour promouvoir une
charte
du journalisme écologique destinée à
mieux répandre la bonne parole : |
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"Il
appartient à l’ensemble des journalistes d’être
à la hauteur du défi que représente
l’emballement du climat pour les générations
actuelles et à venir. Face à l’urgence absolue
de la situation, nous, journalistes, devons
modifier notre façon de travailler".
CHARTE (extrait)
1 - Traiter le climat, le vivant et la justice
sociale de façon transversale.
Ces sujets sont indissociables.
L'écologie ne doit plus être cantonnée à une
simple rubrique; elle doit devenir un prisme au
travers duquel considérer l'ensemble des
sujets.
7 - Révéler les stratégies produites
pour semer le doute dans l'esprit du public.
Cette charte est soutenue par des proches du
GIEC; Jouzel, Masson-Delmotte, Cassou et par des
médias comme Médiapart, Reporterre, France 24,
RFI, 20 Minutes, BonPote, La Maison écologique,
Syndicat national des journalistes, etc. etc.
Une proposition de loi pour la censure
L'institut Rousseau parrainé par Oxfam,
Greenpeace, les Amis de la terre, etc. propose
une loi de répression du climatoréalisme et du
scepticisme vis à vis de "l'urgence climatique".
"Ne pas publier ou diffuser des prises de
position qui contredisent, minimisent ou
banalisent l’existence des limites
planétaires et de la raréfaction des
ressources, de leur origine anthropique et
du risque avéré que ces crises représentent
pour l’habitabilité des écosystèmes".
« L’Autorité de régulation de la
communication audiovisuelle et numérique
contribue aux actions en faveur de la
transition écologique dans les
programmes audiovisuels. Elle veille,
notamment, auprès des éditeurs de
services de communication audiovisuelle,
compte tenu de la nature de leurs
programmes, à ce que la programmation
reflète le consensus scientifique, en
particulier la nature anthropique du
dérèglement climatique, l’existence du
dépassement des limites planétaires et
de la raréfaction des ressources en
cours, ainsi que la nécessité d’agir
reconnue par les engagements
internationaux dont la France est
signataire. »
« En outre, elle accorde une attention
toute particulière aux manipulations de
l’information ou à la propagation de
fausses informations portant sur la
négation ou sur la minimisation des
réalités du dépassement des limites
planétaires et de la raréfaction des
ressources en cours. »
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